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Non à la France du renoncement !
11/03/2009 15:04
Dans Le Monde, NDA défend le maintien de la France hors du commandement militaire intégré de l’OTAN
Sans en avoir dit le moindre mot durant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a solitairement décidé le retour de la France dans le commandement militaire intégré de l’OTAN, dont l’avait sortie le général de Gaulle en 1966.
Il avance trois arguments, mais aucun ne résiste à un examen sérieux. En premier lieu, la disparition de la menace soviétique justifierait ce retour dans l’OTAN. Argument bien étrange : la fin du pacte de Varsovie aurait dû, au contraire et depuis longtemps, permettre la redéfinition de l’Alliance atlantique dans le sens d’une émancipation de la défense européenne, certes partenaire des Etats-Unis, mais non plus sous tutelle. Devant la commission de la défense à l’Assemblée nationale, mardi 17 février, MM. Morin et Kouchner eux-mêmes ont d’ailleurs reconnu "qu’il faut réfléchir à l’avenir de l’OTAN". N’est-il pas plus sage et plus logique de le faire avant le retour complet dans l’OTAN qu’après ?
Les circonstances ont bel et bien changé. Mais cela souligne l’audace visionnaire du général de Gaulle : l’émergence d’un monde multipolaire. Il serait donc complètement contre-productif pour la France, qui a vu juste avant tout le monde, de se renier, notamment face aux pays émergents trop souvent qualifiés d’adversaires par la doctrine américaine du "choc des civilisations". Notre pays verrait sa position internationale diminuée, il se priverait d’une carte maîtresse vis-à-vis du monde comme de ses partenaires européens.
Deuxième argument : il vaut mieux être à l’intérieur qu’en dehors pour peser sur les décisions. Mais le départ de la France de l’OTAN, en 1966, fut motivé par le refus répété des Etats-Unis de partager le pouvoir en son sein. Aujourd’hui, les choses ont-elles vraiment changé ? Exception faite de deux petits commandements secondaires promis par Barack Obama, rien ne permet de le croire, au contraire. Et lorsque Nicolas Sarkozy a décidé d’envoyer des renforts français en Afghanistan, il a voulu faire croire que cela permettrait d’infléchir la stratégie américaine dans ce pays : il n’en est rien et on s’enfonce chaque jour davantage dans un bourbier.
"JEU DE DUPES"
Enfin, ce serait le seul moyen de faire "l’Europe de la défense". Mais à quoi bon, si celle-ci doit être une simple succursale de l’OTAN en Europe, et non un instrument autonome de sécurité au service de sa propre vision du monde ? Et comment convaincre nos voisins, dont l’appartenance à l’OTAN est le prétexte à négliger leur propre effort de défense, de s’investir dans une ambitieuse coopération militaire dès lors que le principal pays moteur, le nôtre, renoncerait à son tour ?
Ainsi, le "jeu de dupes" diplomatique que dénonçait récemment Alain Juppé n’est-il qu’un des aspects de la normalisation atlantiste de notre pays qui, dans les faits, renonce. "La volonté qu’a la France de disposer d’elle-même est incompatible avec une organisation de défense où elle se trouve subordonnée", disait de Gaulle. Appliquez cette phrase, toujours pertinente, à l’actuelle politique présidentielle vis-à-vis de l’OTAN, et vous déduirez que l’acharnement de Nicolas Sarkozy à subordonner notre pays aux Etats-Unis signifie son renoncement à une France ayant la volonté et la capacité à disposer d’elle-même sur la scène internationale.
Preuve indiscutable, le chef de l’Etat aborde ce retour dans l’OTAN après avoir, en 2008, imposé un Livre blanc qui prévoit, en cinq ans, une diminution drastique de notre effort de défense à 1,2 % du PIB (hors pensions et budget de la gendarmerie), soit très loin derrière la Grande-Bretagne et à peine au niveau de l’Allemagne qui, pourtant, assume des obligations opérationnelles bien moindres que les nôtres.
Cessons de tourner autour du pot : le débat n’est pas technique, mais idéologique. En réalité, Nicolas Sarkozy fait partie de cette droite férocement atlantiste, en complet décalage avec le sentiment profond du peuple français auquel Charles de Gaulle avait rendu sa dignité. "Mon pays ce n’est pas la France, c’est la France libre", disait Romain Gary. Pour moi, c’est clair : la France soumise n’est pas et ne sera jamais la France.
Nicolas Dupont-Aignan, député de l’Essonne, président du rassemblement gaulliste Debout la République
Article paru dans l’édition du 21.02.09
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Loi « Création et internet » : les réactionnaires veulent arrêter le temps
10/03/2009 08:06
L’ouverture du débat sur la loi « Création et Internet » nous ramène trois ans en arrière, au temps des débats sur la loi DADVSI , ancêtre du projet « Création et internet » : le même dialogue de sourds a lieu entre les internautes, souvent des jeunes, qui refusent à juste titre une criminalisation injuste et infâmante, et des artistes qui, légitimement, craignent pour l’avenir de leurs revenus.
Malheureusement plutôt que de tirer les enseignements du précédent débat et du caractère inapplicable de la loi votée il y a trois ans, le gouvernement, pressé par les majors du disque, se précipite à nouveau dans un mur.
Les artistes dans cette affaire ne sont que l’alibi d’entreprises qui voient s’effondrer leur modèle économique (faut-il dire leur « rente » ?) car elles n’ont pas su ou voulu comprendre la révolution technologique du numérique.
Souvenons-nous des moines copistes qui, pour préserver leur travail, voulaient pendre Gutenberg et lutter contre le développement de l’imprimerie. Souvenons-nous de ces orchestres qui voulaient faire interdire le disque ou des producteurs de musique qui pensaient pouvoir interdire la diffusion de leurs artistes à la radio.
En vérité, on ne peut pas arrêter le temps et la loi que veut faire voter le gouvernement est promise à l’échec : soit elle sera finalement efficace mais tellement liberticide qu’elle finira par être abrogée. Soit, comme il est plus probable, elle sera contournée par une fraction grandissante des internautes et tombera elle-même en désuétude.
Quand comprendra-t-on qu’il n’y a qu’une solution, rendre légal le téléchargement illimité pour faire bénéficier ainsi les Français d’un accès à la culture sans précédent, celui que permet cette extraordinaire invention qu’est internet ?
En contrepartie, bien évidemment, pour rémunérer les auteurs et les artistes, la seule solution viable est de mettre en œuvre ce qui a été appelé la licence globale. Chaque abonnement ADSL comporterait un prélèvement financier alimentant un fond réparti entre les artistes.
Et que l’on ne nous dise pas que la chose est techniquement impossible alors même que l’on s’apprête à doter chaque ordinateur particulier pourvu d’une connexion ADSL d’un "mouchard filtrant" répertoriant l’ensemble des sites visités vers un serveur central ! A cet égard, l’usine à gaz « riposte graduée » prévue par la loi « Création et internet » coûterait cher à chaque internaute français pour se faire espionner par une sorte de petit Big Brother électronique (en tout état de cause fourni par une multinationale informatique bien connue), tandis que la licence globale permettrait d’avoir accès à l’ensemble des richesses de l’internet…
On mesure combien cette loi liberticide et dispendieuse a peu à voir avec la défense des artistes-créateurs et avec le simple sens de l’histoire.
Dans un cas comme dans l’autre, elle fait penser à une digue de sable érigée face à l’océan. Comme toujours, les réactionnaires veulent arrêter l’histoire mais sont finalement, tôt ou tard, balayés par elle.
NDA
Commentaire de Anthéa (10/03/2009 09:43) :
Il ne faut pas se faire d’illusion quand à cette loi… Outre le fait qu’elle
va permettre au major de pouvoir à nouveau plumer sans vergogne le
consommateur, elle aura pour principale vocation de surveiller la
population et faire taire les derniers opposants politiques utilisant cet
espace de liberté qu'est Internet. Sous le fallacieux prétexte de
combattre le piratage, Sarkozy et l’UMPS (cela arrange bien le PS)
instaurent un « Big Brother » sauce française..
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Commentaire de regrets (10/03/2009 10:18) :
D’un immense espace de liberté d’expression et d’échanges, Internet devient
de plus en plus un espace mercantiliste et policier. Il n’a plus d’intérêt.
L’esprit Internet est mort, bradé pour une vaste base de données à
destination des services commerciaux du CAC40 et consorts, et un vaste
espace de promotion pour l’UMPS soumis aux intérêts de ces mêmes lobbies..
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Commentaire de Et ceterum censeo Carthaginem esse delendam (10/03/2009 11:03) :
Bon commentaire de NDA.
Comment ne pas comprendre qu’ Internet gêne de plus en plus cette
oligarchie composée de grands patrons, de gros actionnaires, du monde du
show business et de la politique Bling -Bling. D’ailleurs Sarkozy et tous
les pontes des principaux partis de pouvoir (UMP, PS, Verts…) n'ont
d'ailleurs pas oublié que c’est cette « toile » qui a contribué à la
victoire du « Non » au référendum du 29/05/2005! Voilà le véritable motif
de ce putch sur internet : contrôler et censurer comme les dictatures
Chinoises, Saoudiennes où autres. Créer un big brother qui nuirait à nos
libertés !
Certains diront que j’exagère et que le gouvernement est mût par d’autres
motivations que celle-ci ! Ah bon ! Pourtant, il paraît techniquement
possible d’empêcher le téléchargement sur Internet, mais pour des raisons
que je devine, il n’a pas été donné suites à ses possibilités. Pour la
taxe ou licence globale, l’idée est bonne, toutefois je rappelle qu’il
existait déjà une taxe appliquée sur l’achat de disques durs, de disquettes
ou DVD vierges et que nos chers artistes n’en n’ont toujours pas profité
puisque le gros de cette taxe profite avant tout aux majors…
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Commentaire de Manéthon (10/03/2009 11:27) :
Effectivement la licence globale semble être la solution la plus
raisonnable. J’ai 2 adolescents à la maisons, et ils ne se privent pas de
télécharger. Je suis conscient que cela à un impact financier, surtout
auprès des artistes qui doivent pouvoir tout de même vivre de leur métier !
Aussi, je suis prêt à m’acquitter d’une taxe pour une licence globale qui
alimenterait une caisse dont les artistes serait uniquement les seuls
bénéficiaires. Pour les majors, ceux ci n’ayant plus aucunes utilités grâce
à ce système, ils ne leurs resterait plus qu’à disparaître. Ce ne serez que
justice pour des parasites qui ont trop longtemps exploités les artistes
et les consommateurs.
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Commentaire de Commando D7 (10/03/2009 11:41) :
D’accord avec Manéthon, je préfère payer un peu plus par mois et
télécharger ce que je veux en toute liberté, plutôt que de ne pas payés
mais être privé de téléchargement pour cause de surveillance constante de
ma ligne.
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Commentaire de DLR1 (canal historique) (10/03/2009 18:06) :
Soulevez par un internaute sur le site de DLR
"Lu cette semaine dans Télérama: Escroqueries, atteintes aux mineurs,
propos racistes... En un mois et demi, 300 000 internautes se sont
connectés sur www.internet-signalement.gouv.fr, et plus de 7000 affaires
suspectes ont été révélées, se félicite Michèle Alliot-Marie. Et combien de
délations inutiles?"
Au secours, la France de Pétain revient!
C'est exactement ce que je dénonçais il y a peu en disant que le
Sarkosysme est un fascisme qui tue notre démocratie peu à peu....
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L'interêt général, ciment de la nation.
07/03/2009 21:15
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/index.php/post/2009/03/07/L-inter%C3%AAt-g%C3%A9n%C3%A9ral%2C-ciment-de-la-nation.
Commentaire de cimares (08/03/2009 10:14) :
le thème de l'intérêt général, cher aux étudiants de mon époque,
n'est plus à la mode aujourd'hui...et pourtant, c'est bien
une notion de la révolution, précisée par la jurisprudence administrative
ultérieure.
Ce thème mériterait que nos représentants, surtout dans nos communes, y
réfléchissent un peu pour eviter de retomber dans les errements de
l'ancien régime qui, ne l'oublions jamais, est tombé du fait de
l'ignorance de l'intérêt général auquel on préférait
l'intérêt des diverses corporations.
C'est en cela que j'invitais le professeur David Noël à la
réflexion quand il évoquait le retour au moyen age en analysant la
réforme des institutions territoriales proposée par Balladur.
Ne nous faisons pas d'illusions: aujourd'hui les politiques
communales sont aussi plus menées en fonction de la puissance des diverses
associations pesant, de fait, sur les finances communales que par la
rcherche de l'intérêt du citoyen.
Cette analyse vaut à tous les échelons, à commencer par l'Europe qui a
privilégié le "lobbying" au détriment de l'intérêt général du
citoyen...et cela est ressenti intuitivement par chacun d'entre-nous.
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Commentaire de Proudhon (10/03/2009 09:32) :
Mr le député Dupont-Aignan,
Si on m'avait dit un jour que je ferai ce que je m’apprête à faire
aujourd'hui je ne l’ aurai pas cru. Je suis de sensibilité de gauche
militant au PCF, pourtant je tiens à vous féliciter. En ces temps moroses
pour la démocratie je suis heureux que des gens tels que vous se lèvent et
s'opposent à la politique dictatoriale de Nicolas Sarkozy. Je dois
vous avouer que j'aurais aimé que cette contestation vienne de la
gauche, et surtout de mon propre parti ! Hélas, celui ci dépend trop
aujourd’hui du PS pour pouvoir encore disposer d’une autonomie réelle pour
pouvoir contester. Mais peu importe la Raison n'a pas de couleur, et
j’aime le mauve, car, force est de constater qu’actuellement, elle
n'est ni rouge, ni rose, ni verte.
Alors voilà, je tenais simplement à vous remercier de vous opposer avec
intelligence à notre Gouvernement incompétent et avide d'argent.
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Commentaire de Gaulliste pour toujours (10/03/2009 11:33) :
Une amicale pensée pour tous les parlementaires qui désirent sincèrement le
bien de la France et cette petite phrase du Général qu’ils leur faudra
toujours avoir en tête : "Quand tout va mal et que vous cherchez votre
décision, regardez vers les sommets. Il n'y a pas
d'encombrements". L'avenir dépend de ceux qui sauront oser : Oser
vouloir le mieux pour la France.
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Responsabilité du gouvernement sur l’OTAN : un vote de peur
06/03/2009 11:04
COMMUNIQUE DE PRESSE
Vote de confiance sur l’OTAN : un vote de peur pour une décision honteuse
Le gouvernement ne voulant pas consulter les Français par référendum ni même organiser un vote simple au Parlement - de peur manifestement d’être désavoué par ses propres troupes - a décidé d’étouffer tout débat en mettant en jeu sa responsabilité sur la question du retour complet de la France dans l’OTAN.
Il prend ainsi en otage les parlementaires de sa majorité, auxquels il appartient, désormais, de mesurer la responsabilité historique qui leur incombe sur un sujet, de toute évidence, pas aussi banal que voudraient le faire croire le président de la République et ses ministres.
Pour ma part, je prendrai mes responsabilités comme lors de l’engagement de troupes supplémentaires en Afghanistan. Ainsi, je n’hésiterai pas à mettre en cause la responsabilité du gouvernement sur cette réintégration honteuse, ostensiblement contraire à l’intérêt supérieur du pays.
Nicolas DUPONT-AIGNAN
Député de l’Essonne
Commentaire de manéthon (06/03/2009 11:09) :
OTAN: Fillon va engager la responsabilité du gouvernement devant
l'Assemblée
Je rêve que les parlementaires fassent preuve de courage et choisissent
leurs conviction et la grandeur de la France plutôt que leur gamelle.
On peut toujours rêver
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Commentaire de Commando D7 (06/03/2009 11:28) :
Sur la fronde des élus UMP quand à l’alignement de la France sur les USA
dans le cadre de l’OTAN, et pour poursuivre le rêve de Manéthon, s’il reste
des Gaullistes dans l’UMP, qu’ils trouvent enfin le courage de quitter ce
parti fossoyeur de la France… S’ils leur reste un sens de l’honneur, propre
à tous les Gaullistes, qu’ils fondent derrière Nicolas Dupont Aignan un
véritable groupe Gaulliste d’opposition à Sarko and Co…
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Réforme des collectivités territoriales : attention aux dérives !
06/03/2009 11:00
COMMUNIQUE DE PRESSE
Rapport Balladur : de fausses réponses à un vrai problème
La nécessité d’une réforme institutionnelle des collectivités territoriale, qui doit mettre un terme au « mille-feuilles » administratif français et que je réclame depuis longtemps avec Debout la République, ne doit pas être le prétexte à apporter de fausses réponses à un vrai problème.
Car, au-delà de quelques mesures de bon sens, comme la spécialisation des compétences des conseils généraux et régionaux, quatre orientations constitueraient une véritable régression pour la démocratie locale et notre République :
la remise en cause, au mépris de notre tradition républicaine, de la libre administration des communes, qui pourraient être autoritairement regroupées par les préfets alors que seule l’incitation doit demeurer la règle.
L’élection conjointe des conseillers généraux et régionaux au scrutin de liste, qui placerait les territoires ruraux sous la férule du régime des partis, alors que seul le scrutin majoritaire uninominal dans le cadre du canton préservé serait acceptable.
La problématique fiscale mal appréhendée, puisqu’elle pose la question de la forme de l’impôt et non de la répartition de son produit.
L’approche retenue pour le « Grand Paris », qui semble doublement inappropriée : d’une part en voulant revenir à l’ancien département de la Seine pour la petite Couronne, d’autre part en faisant l’impasse sur le principal problème, celui de la grande Couronne qui resterait, avec la proposition Balladur, le parent pauvre de la région francilienne.
Enfin, s’il est bon que le Chef de l’Etat affirme vouloir prendre le temps de la concertation pour engager cette réforme, il est urgent qu’il en précise les modalités d’élaboration : seules une réelle transparence et la volonté sincère de mettre tous les problèmes sur la table avant la loi et non après, seront le gage d’une réforme réussie.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste et républicain Debout la République
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